Augustin d’Hippone : Un pasteur qui aime son peuple

Sermon 17 (extraits)
Vendredi 25 février 2005 — Dernier ajout jeudi 6 mai 2010

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« Quand je dirai au méchant : "Tu mourras sûrement", si tu ne l’avertis pas, et si tu ne parles pas pour avertir le méchant au sujet de sa voie mauvaise et lui conserver la vie, lui, le méchant, mourra à cause de sa faute, mais son sang, je t’en demanderai compte. Mais si toi, tu avertis le méchant et qu’il ne revienne pas de sa méchanceté et de sa voie mauvaise, lui, à cause de sa faute, mourra, mais toi, tu auras sauvé ta vie. » (Ézéchiel 3, 18-20). La prédication d’Augustin rappelle à ses auditeurs que l’évêque n’est pas là pour faire plaisir à ses ouailles, mais pour les conduire à Dieu.

Page vérifiée le 8 avril 2010.

Le Père Guilhem Bouissou (1912-1999), religieux assomptionniste, est le co-traducteur, avec le P. Tréhorel des Confessions de saint Augustin (« Bibliothèque augustinienne », vol. 13 et 14). Il a également publié cinquante sermons de saint Augustin dans le « Corpus christianorum ».

Passionné par son auteur préféré, le P. Bouissou rappelle que saint Augustin n’a pas écrit ni dicté ses sermons, il les a totalement improvisés et des sténographes de l’époque ont noté le texte, à la volée, pour en faire des collections qui furent relues par Augustin. Ce texte s’adresse non pas à des lecteurs, mais à des auditeurs. Il faut le déclamer pour bien le comprendre.

La poutre
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